Non seulement, après des années qui anéantirent tant de choses éphémères, Pétrouchka demeure, non seulement sa vitalité exubérante ne se dément pas, mais l’emprise qu’exerce cette œuvre unique apparaît plus intense. […] On donna à la suite Le Sacre du Printemps, l’œuvre la plus âprement discutée qu’ait jamais osée Diaghilev.