Mais pressons les Dieux propices D’amener ces jours si chers, Où ton culte & tes délices Occupent tout l’Univers : Alors les graces renaissent, Les ris, les jeux reparoissent, Enfans d’un loisir heureux : Zéphire, que l’hyver glace, Fuis l’amour, viens à sa place Nous ranimer par ses feux.