., étaient attachés au Théâtre des Arts et recevaient, par l’Administration, une somme par année pour se charger de tous les remplissages de la copie, et des poèmes, et de tout ce qui peut, enfin, s’appeler corvée, à condition que pour récompenser cet ingrat travail ils établiraient tant d’ouvrages nouveaux par an. […] Mon bénéfice qui a eu lieu dernièrement avec un ballet nouveau qui a eu un très grand succès, m’a valu un superbe cadeau de l’Empereur du prix de dix mille roubles. […] Je vous ai parlé de tout ce monde, mon cher Courtin, parce que vous les connaissez, car du reste il n’y a pas de nouvelles à donner d’ici.