/ 188
172. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Il n’aurait pas osé s’en ouvrir à Rahel, si sa lettre n’avait pas dû lui être transmise par un courrier autrichien, c’est-à-dire par un moyen plus sûr que la poste ordinaire. […] Pour s’en délivrer, pour s’en consoler, il n’y a guère qu’un moyen : c’est, par la puissance de l’esprit, de considérer la fin comme un commencement, comme un nouveau point de départ. » Combien ce langage ému et plein d’élévation contraste avec le ton frivole des billets de l’année précédente où Gentz traitait de fredaines ses tardives amours ! […] Le moyen n’avait pas réussi.

/ 188