Seulement, derrière une chaise-stalle en racine de frêne, nous avons trouvé un crayon timbré de la fabrique Guyot-Després, il avait servi à tracer ces mots : Où pourrai-je vous voir ? […] S’il arrive qu’elles égarent le premier volume, elles n’emploient plus dans leurs épîtres que les mots qui se trouvent orthographiés dans le volume qui leur reste. […] Une autre Sévigné a la série de mots depuis l… jusqu’à z. […] Enchanté, il continue et s’arrête de nouveau stupéfié à ce mot : maiche. […] Et si vous leur demandez pourquoi elles suppriment dans j’irai l’apostrophe et l’i, elles disent que c’est de trop et que ça ne change rien au mot.