… je rassemblai toutes mes forces et, en quelques mots, j’expliquai, en bon anglais, à Kawakami, qui n’en comprenait du reste pas une syllabe, que ce discours de M. […] Personne cependant n’avait compris un seul mot de ce qu’il venait de dire. […] J’essayai de dire ce que Kawakami eût dit à ma place et, avec beaucoup d’emphase et de grands mots sincères, j’arrivai au bout. […] Et je ne puis que m’en féliciter, car, après tout, c’est moi qui ai « traduit » les discours et scellé ainsi, dans les mots, cette autre entente cordiale. […] Un mot encore sur mes amis les Japonais.