Un seigneur en fut si transporté qu’il mit l’épée à la main, en jurant et blasphémant, et voulant à toute force s’aller battre. […] Pour mettre l’Opéra sur pied, il en coûta environ quarante-cinq mille livres. […] Deux dernières faveurs mettaient le sceau à toutes celles que la royale intervention avait déjà accordées à l’Opéra. […] Une main habile devait mettre à profit les événemens de 1830. […] Les effets de cette mise en scène, si palpitante d’énergique vérité, ne se sont pas bornés là.