IX Le rythme en est resté, dans la plupart des hommes, à la numération si simple de l’origine : le battement du cœur, le souffle respiratoire, cette mesure à deux temps ou à quatre ; et la marche qui est fonction des deux autres mouvements. […] La marche en cadence est plus riche, cent fois, en toute sorte de rythmes que les rythmes marqués de nos danses.