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26. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-

Il était tout de même si perplexe, si effrayé de voir manquer mon dîner, faute de chaises, qu’il se décida à compter la somme, mais s’aperçut alors qu’il n’avait plus assez d’argent, et les hommes de l’agence de location s’en retournèrent avec leurs meubles. […] Quelques tables étaient hautes, d’autres basses, les chaises poussaient à son comble l’aspect disparate et le couvert manquait terriblement de couteaux et de verres.

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