Exhortons néanmoins ledit curé de détourner, autant qu’il pourra, ses paroissiens d’un divertissement si périlleux et si peu convenable à des chrétiens, qui ne sont en ce monde que pour faire pénitence ; et se souvenir que ceux à qui la danse est en particulier une occasion d’offenser Dieu mortellement et de se damner, sont incapables d’absolution et de communion, s’ils ne promettent tout de bon de la quitter, et ne la quittent effectivement, après avoir manqué à leurs promesses. » Dans une lettre du 9 octobre 1645, adressée à tous les doyens, promoteurs, curés et vicaires de son diocèse, pour empêcher la profanation des jours de dimanches et de fêtes, M.