Château d’Autremont, le … Est-ce bien vrai que tu es tout à fait bien, ma mère chérie ? […] Je comparais l’existence que tu m’as faite à celle de ce grand seigneur riche qui a eu père et mère, femme et enfant, et qui vit tout seul à présent dans un château fantastique perché je ne sais où entre ciel et terre. […] — Ici, ma chère mère, j’ouvre une parenthèse pour te demander pardon des minuties de mon racontage.