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102. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

Ce monosyllabe est son arrêt de mort : le goujon est ferré, style de pêcheur, il n’y a plus qu’à tirer la ligne et l’amener avec ou sans épuisette. […] Il faut lui laisser ses traits heurtés, ses lignes imprévues, sa physionomie d’exception.

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