La religion ne nous enseigne pas cela, elle nous commande de nous abstenir, et quand elle nous lâche, tête baissée, dans le mariage sanctifié par elle, elle nous dit : « Croissez et multipliez », sans s’inquiéter des dangers de notre liberté subite et de l’abus que nous pouvons en faire. […] Elle regrettait sa liberté, les voyages que je lui avais promis ; elle se révoltait contre l’esclavage absolu que sa situation allait lui imposer pendant deux ou trois ans peut-être ! […] Je courus m’enfermer à Autremont, ne connaissant plus d’autre volupté dans la vie que de pleurer et souffrir en liberté.