Il sut en faire une retraite délicieuse où il accumula les meubles de prix, les objets d’art, les jolis bibelots. […] « Vous pourriez me rendre infiniment heureux, dit Gentz dans son billet d’envoi, si, sans ajouter une parole de remerciement, chose contre laquelle je proteste de toutes mes forces, vous vouliez bien écrire de votre jolie main sur un petit bout de papier ces mots : Vous avez eu raison. […] Sa jolie tête disparaissait sous une capote de dentelles garnie de fleurs.