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101. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

» Nourrit se pressait trop de venir rassurer tout le monde par sa présence pour engager une conversation avec son camarade Bertram ; il put enfin reparaître, entraînant avec lui mademoiselle Dorus, pleurant alors de joie. » *** Marie Taglioni était nerveuse à l’excès. […] La plupart des journaux blâmèrent avec violence cet acte de la direction ; les Elssléristes ne cachaient pas leur joie ; les Taglionistes s’assemblèrent et décidèrent qu’une protestation solennelle, qu’une manifestation énergique auraient lieu le soir de la représentation d’adieux de leur idole… Dans la salle, on réclamerait la tête de Duponchel… A ce cri, une tête d’homme — coupée — en carton — serait lancée sur la scène par les lions de la loge infernale….. […] Le lendemain, fatiguée des émotions, des joies du triomphe, elle voulut aller se promener par la ville.

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