« La chère enfant, avait dit Gentz en parlant de Fanny, se donne toutes les peines du monde ; elle s’efforce de me dérider, mais tout est inutile ; ici (et il montrait son cœur) son image est morte. » Fanny ne se laissa pas rebuter par l’humeur sombre du vieillard. […] Elles n’effacèrent pas la chère image gravée au fond du cœur.