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108. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

« La chère enfant, avait dit Gentz en parlant de Fanny, se donne toutes les peines du monde ; elle s’efforce de me dérider, mais tout est inutile ; ici (et il montrait son cœur) son image est morte. » Fanny ne se laissa pas rebuter par l’humeur sombre du vieillard. […] Elles n’effacèrent pas la chère image gravée au fond du cœur.

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