Quand on voit un portrait de Véron, l’on se demande si l’on a sous les yeux une image fidèle, ou si ce n’est pas plutôt une caricature de Daumier, une pochade de Gavarni, ou bien encore l’inénarrable Joseph Prudhomme crayonné par Henri Monnier.
Quand on voit un portrait de Véron, l’on se demande si l’on a sous les yeux une image fidèle, ou si ce n’est pas plutôt une caricature de Daumier, une pochade de Gavarni, ou bien encore l’inénarrable Joseph Prudhomme crayonné par Henri Monnier.