Le boulevard anxieux se demandait : Qu’est-ce que le Seigneur va donner à cet homme ? […] On a lu avec émotion le poème le Fils de l’Homme où Barthélemy racontait le voyage qu’il avait fait à Vienne pour voir le duc de Reichstadt, et l’on a suivi avec curiosité, en 1830, le procès auquel cette publication avait donné lieu. […] L’homme chargé de donner le signal le fait en frappant trois fois du pied gauche. […] » Un homme éclatait de bonheur et d’orgueil ; c’était Véron. […] Entre la beauté imposante de Thérèse et la perfection délicate de Fanny s’étalait, comme une citrouille entre deux fleurs, l’homme à la face et au ventre de Silène, Véron.