« Mais après toute cette joie je crains de ne plus pouvoir être heureux dans l’autre monde. […] Les heureux gagnants de cette loterie peu commune furent des négociants, M. et Mme Falconieri. […] Le genou séduit aussi, comme la cheville, par une heureuse alliance de la grâce et de la vigueur. […] Les événements de 1848 troublèrent cet heureux accord entre l’Autrichienne et le public milanais. […] Elle fut infiniment plus heureuse que sa sœur Thérèse dont la destinée avait été, en apparence, plus brillante.