108 Celle qui suit, est du Printemps, Que désigne un Duc de vingt ans,109 Lequel, par une heureuse Chance, Est le Mari de l’ABONDANCE ; Et ce Printemps, si verdoyant, Si beau, si sage, et si ruant, Mène deux Amours à sa suite,110 Qui sont d’un excellent mérite Et même d’un royal estoc, Aimant fort le belliqueux choc.