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52. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-

Ils avaient de très longs cous et portaient des cols excessivement hauts. […] La caisse n’avait pas plus de cinquante centimètres de long et n’était guère plus haute qu’une boîte à cigares. […] … Dans un de ces articles, un critique disait : « Loïe Fuller renaît de ses cendres. » Dès le lendemain la ville entière était inondée d’affiches sur lesquelles une lithographie, reproduite d’après une de mes photographies, me représentait grandeur nature avec ces lettres hautes d’un pied : « La Serpentine.

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