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103. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

« Un tel calme, dit-il, suppose de l’harmonie et de la sécurité. » Et Gentz, qui raconte l’incident à la comtesse Fuchs, ajoute : « Il n’a pas tout à fait tort. » *** Cette quiétude adoucit pour Gentz les douleurs d’une longue séparation. […] A cette première visite, Fanny séduisit sa nouvelle amie plutôt par l’harmonie de tout son être et par l’expression de son visage que par le détail de sa beauté.

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