Vous avancez que l’on ne grave que rarement les partitions, même des plus grands maîtres. […] Les paroles y sont mieux entendues que chez nous, où l’on grave tout et où l’on ne prononce rien ; les chanteurs Italiens n’étudient jamais les paroles ; les souffleur lit les vers à haute et intelligible voix, et le chanteur les psalmodie avec lui.