A l’approche de la soixantaine, il y eut des moments où l’organisme surmené demandait grâce. […] Il s’était prêté de la meilleure grâce du monde aux taquineries des princesses Hermine et Léontine de Metternich. […] Par son séjour à Berlin Fanny n’a rien perdu de sa grâce, de son charme, de son innocence ; par contre, elle a beaucoup gagné en aplomb et en manières mondaines.