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180. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

A l’approche de la soixantaine, il y eut des moments où l’organisme surmené demandait grâce. […] Il s’était prêté de la meilleure grâce du monde aux taquineries des princesses Hermine et Léontine de Metternich. […] Par son séjour à Berlin Fanny n’a rien perdu de sa grâce, de son charme, de son innocence ; par contre, elle a beaucoup gagné en aplomb et en manières mondaines.

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