En 1790, Viganò regagna l’Italie et fit paraître aux yeux des Vénitiens, sur la scène du San Samuele dont son père était l’impresario, toutes les grâces de la technique française. […] Un soir, Rossini fit voir à Stendhal « un défaut chez Viganò : Trop de pantomime, pas assez de danse29 » Beaucoup étaient de cet avis qui préféraient les grâces de la danse française aux tragédies muettes du grand chorégraphe.