» On sait que quelque agréable que soit le pain corporel à ceux qui se portant bien, ont un bon appétit, il est amer à ceux dont la fièvre a dépravé le goût.
» On sait que quelque agréable que soit le pain corporel à ceux qui se portant bien, ont un bon appétit, il est amer à ceux dont la fièvre a dépravé le goût.