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173. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187

« Des sueurs abondantes, dit Véron, d’accablantes fatigues, des larmes, rien n’attendrissait le cœur de ce père, rêvant la gloire pour un talent qui portait son nom67. » Un mot que l’on cite de ce dresseur farouche montre quels étaient à la fois son amour-propre et sa rigueur.

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