.° 25, tom. 2, pag. 180,) après avoir dit que la joie d’un chrétien ne doit se trouver que dans le témoignage d’une bonne conscience, il ajoute tout de suite que « la pudeur ne sauroit être en sûreté, et que tout est à craindre des attraits de la volupté, lorsqu’on finit par la danse les autres divertissemens ». […] Il le finit en les menaçant que Dieu les frapperoit par la verge de fureur, s’il méprisoit ce qu’on venoit de leur lire. […] Après donc qu’on eut bien pleuré de part et d’autre, je finis plein d’espérance de les ramener. » Si les églises avoient aujourd’hui un nombre de ministres aussi saints et aussi zélés que S. […] Je finis toutes ces autorités des saints contre les danses, par celle de S. […] Le concile finit par dire « que ces maux sont certainement très-grands devant Dieu et devant l’Eglise : Hoc certè gravissimum est in conspectu Dei et Ecclesiæ ».