Deux ans à peine se sont écoulés depuis la mort du fils de Napoléon. […] On a lu avec émotion le poème le Fils de l’Homme où Barthélemy racontait le voyage qu’il avait fait à Vienne pour voir le duc de Reichstadt, et l’on a suivi avec curiosité, en 1830, le procès auquel cette publication avait donné lieu. […] du fils de l’empereur ! […] Je tiens d’un grand amateur de l’Opéra de Vienne, d’un fidèle et fervent admirateur des sœurs Elssler, que jamais le fils de Napoléon (puisqu’il faut le nommer) n’a vu ni au théâtre, ni ailleurs, l’artiste pour laquelle on lui a prêté de si tendres sentiments. […] Par ce moyen de locomotion arrivait dans une île d’Islande un garçon apothicaire qui arrachait la belle Léa aux fils difformes de la mère Cagoule, Bag, Beg, Big, Bog, Bug et Caliban.