On faisait habiller en femmes deux ou quatre Danseurs qui figuraient sous cette mascarade dans les Fêtes de ce Spectacle. Le Triomphe de l’Amour 138 fut le premier ouvrage en Musique où quatre vraies femmes dansantes furent introduites, et on vanta alors cet embellissement, comme on louerait de nos jours l’établissement d’une Salle de Spectacle bien régulière et proportionnée au degré de splendeur où nous pouvons croire sans orgueil que notre Ville Capitale est montée. […] En 1681, dix grands Opéras avaient été représentés sans femmes dansantes.