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145. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

La poitrine courte et étroite de Marie, la maigreur de son corps, la longueur de ses bras et l’expression maladive, essoufflée et pâlotte de sa physionomie semblaient, en effet, donner raison à cette question du ballerin. […] La pièce réussit au delà de toute expression.

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