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151. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231

Sous ses cheveux gris blanc, les yeux noirs avaient gardé la vivacité, la douceur du jeune âge et son sourire plein d’esprit me mettait en confiance. […] Elle était la réalisation vivante dont ces peintures n’étaient que l’imitation, et, de même que les originaux, dont ces vases n’étaient que des copies, elle était inspirée de l’esprit qui en avait fait des danseuses.

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