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1. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123

Le pas est doux, les gestes sont doux, la voix est douce, infiniment douce. Tout est doux. […] Rodin poussa lentement la porte du temple, puis, d’une voix douce, il nous dit d’entrer.

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