Il fait qu’on ne peut voir, sans en être ému et sans la plus vive douleur, ce qui offense Dieu et ce qui perd les ames. […] C’est comme si le saint apôtre disoit : Je ne puis voir Dieu offensé, et quelqu’un de mes frères se perdre en marchant dans la voie du péché, sans que mon zèle s’enflamme, et sans que je ressente dans mon ame une douleur aussi cuisante que celle que ressent dans son corps un homme qu’on brûle à petit feu.