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17. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les machines de théâtre » p. 458

(B) Chapelet Chapelet, machine d’opéra ; on appelle ainsi plusieurs petits châssis de formes différentes, peints en nuages, et enfilés à des cordes les uns après les autres, qu’on descend ou remonte par le moyen du contrepoids. […] Ce char est suspendu à quatre cordes qu’on teint en noir, et il descend ou remonte par le moyen du contrepoids. […] Pendant le temps qu’on exécute une ritournelle majestueuse, on voit descendre une divinité, l’illusion commence : mais à peine le char a-t-il percé le plafond, que les cordes se montrent, et l’illusion se dissipe.

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