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48. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185

XII Un de mes amis disait un jour : « Les blondes, c’est comme les œufs à la neige, ça demande à être battu. » Qui expliquera jamais le cœur des femmes ? […] Et elle a bien tort : par cette franchise elle s’éviterait l’ennui de rougir quand un de ses soupirants lui demande une mèche de ses cheveux. […] lui demanda-t-elle, fort intriguée de ce long mutisme.

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