Au jour convenu je le menai à la Société des Auteurs. […] J’expliquai alors à Kawakami, avec le renfort indispensable des gestes qui convenaient, que le temps était venu pour lui de se lever et de dire quelques mots en japonais.
Au jour convenu je le menai à la Société des Auteurs. […] J’expliquai alors à Kawakami, avec le renfort indispensable des gestes qui convenaient, que le temps était venu pour lui de se lever et de dire quelques mots en japonais.