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19. (1921) Une dernière étape des « Ballets russes ». La Belle au Bois Dormant pp. 227-231

Si en Russie les danses imaginées par Petipa avaient conservé leur éclat primitif, il n’en était pas de même du spectacle dans son ensemble qui avait sensiblement périclité depuis la mort du maître nonagénaire. […] Pour le texte chorégraphique Diaghilev pouvait s’appuyer en toute confiance sur les notations et tracés conservés par le régisseur Serguéev et surtout sur les souvenirs des exécutants.

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