De vous avoir vue dans vos si belles danses, il me semble que je vous connais beaucoup, et je suis très contente que vous soyez venue me voir. […] Je me rendis donc chez la Princesse, qui était la seule personne que je connusse en Roumanie, pour lui demander de me venir en aide. […] Je la regardai un long moment, puis je lui dis : — J’aurais aimé vous connaître sans savoir que vous étiez une princesse. — Mais, répondit-elle, c’est la femme que vous connaissez maintenant et non la princesse.