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79. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Je n’arrive pas encore à comprendre comment j’ai trouvé des mots pour lui avouer ce que je lui ai tu. […] Je saisis clairement qu’elle comprenait mon cœur et je m’écriai : Rien ne me séparera de toi ! […] « Avec quelle émotion je t’adresse aujourd’hui mes souhaits, tu le sentiras toi-même, puisque tu as compris depuis longtemps combien est immense mon amour pour toi. […] On comprend que Gentz ait appelé la réponse de Rahel une lettre d’une importance capitale pour lui et qu’il ait dit à la confidente, à l’indulgente protectrice de ses amours : « Il n’y a pas deux amies comme vous au monde !  […] Il comprit ce qu’il y avait dans son cas d’artificiel et de paradoxal.

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