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2. (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — XI » p. 141

L’amour, tel que l’homme l’a conçu, le cœur, la charité, la musique, l’art enfin ne sont point de la raison ni du bon sens. […] Grâce à la musique, le temps est l’espace du cœur, ou de l’esprit rendu sensible au cœur par l’émotion. […] Infini ou absolu, Amour enfin, Dieu sensible au cœur, voilà ce que l’art des sons propose à l’homme.

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