……………… La danse laissait voir tous les trésors de Flore Sous les plis des maillots, vermeils comme l’aurore ; C’était la vive Elssler, ce volcan adouci, Lucile et Carlotta, celle qui marche aussi Avec ses pieds charmants armés d’ailes hautaines Sur la cime des blés et l’azur des fontaines.