Ne pourroit-on pas regarder ce qui constitue l’intonation parfaite, l’accent propre à l’organisation de la voix ; comme un instrument chargé d’une infinité de cordes, les quelles, pour être justes et sonores, doivent être montées par nos affections et accordées par les sentimens à tous les tons, et à tous les modes propres à exprimer les accens variés des passions.