Les artistes de ce théâtre avaient été autorisés à se gouverner eux-mêmes, et on leur avait permis de prendre, aux ci-devant Menus-Plaisirs, toutes les décorations dont ils avaient besoin : l’Opéra avait été spécialement placé sous la protection de la République. […] Les secours que l’on a donnés alors à l’Opéra ont été grands, parce que les besoins étaient grands.