Trajan bannit ces belles représentations théâtrales qui reparurent encore longtemps après lui ; mais accompagnées des obscénités qui avaient engagé cet empereur à les défendre. […] Il serait à souhaiter que les hommes à talent n’eussent pour juges que ceux dont l’opinion a pour base le sentiment, l’intelligence, et non de certains partisans, et la nombreuse troupe des Midas, « Connaisseurs aux belles oreilles ». […] [9] On ne saurait trop recommander aux jeunes gens qui se destinent à cet art d’imitation, la vue des chefs-d’œuvre de la peinture et de la sculpture, surtout dans l’antique : ces enfants immortels du génie des beaux-arts, ces modèles du beau idéal, formeront leur goût.