Ainsi les Bals, les Mascarades, et surtout les Ballets qui n’entraînaient après eux aucun danger, et que la Reine Catherine de Médicis avait connus à Florence, furent pendant plus de cinquante ans, la ressource de la galanterie et de la magnificence française91. […] Elle mit en jeu, les Festins, les Bals, les Mascarades, les Ballets, les Femmes les plus belles, les Courtisans les plus libertins. […] Henri III courait le Bal en habit de Fille.