Cette fois, profitant de mon inexpérience de la loi comme de ma méconnaissance de la langue française, on menaça de m’arrêter et de m’emprisonner si je ne repartais pas immédiatement pour la Russie. […] Notre docteur s’informa de moi et lorsqu’il fut au courant de ce qui s’était passé, me télégraphia tout le long de la route, à chaque station où le train devait s’arrêter. […] Je m’habillai en hâte, empaquetai mes affaires pêle-mêle, et lorsque le train s’arrêta à la station suivante, je descendis avec tous mes bagages.