Lorsque les productions des arts s’annoncent sans principes et sans proportions, elles choquent les yeux et révoltent le bon goût. […] Les arts doivent s’annoncer avec majesté ; ce qu’ils créent doit être noble, simple et grand, à l’exclusion du gigantesque, la beauté ne peut exister sans proportions ; une imitation outrée, dégrade l’artiste, et choque le bon goût. […] Le mot fête annonce quelque chose de grand et de magnifique.