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42. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53

J’ajouterai que cette surcharge alourdirait la jambe, la gênerait cruellement aux articulations, et, humectée peu à peu par la transpiration, arriverait à en paralyser absolument le jeu. […] Faut-il ajouter que, le lendemain, on ne lui renvoya rien du tout ? […] La fatigue du métier est bien loin, — j’en conviens, — de désencanailler les abatis de la plupart de ces demoiselles… Mais elle ne leur ajoute qu’un léger endurcissement de l’orteil, de la plante et du talon.

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