Je sais que vous aimez les arts avec passion, et je n’ignore point que vous les cultivez avec succès ; que vos poëmes lyriques ont enrichi nos théatres et fourni à la musique les moyens de s’exercer avec éclat. […] Cette mesure est si sage et si consolante, que vous finirez par convenir avec moi, que l’Autriche et l’Angleterre sont les pays où l’on aime le mieux la musique ; puisque ce sont ceux qui assurent aux musiciens et à leur postérité le sort le plus heureux.